VINGT DEUXIEME JOUR
Ce matin j'ai pris un petit déjeuner, comme maintenant j'ai décidé de le faire chaque jour (je ne mangeais plus le matin depuis des mois) : un laitage, une demi baguette, un café sans sucre et des fruits.
Comme fruits j'ai mangé quelques nèfles que j'ai trouvé dimanche dans la nature.
Je ne connaissais pas ce fruit rustique, mais il est bien de saison et mon plaisir fut proportionnel à cette nouvelle découverte.
Le midi j'ai mangé mon plat de poisson aux petits légumes + des nèfles + une demi baguette...C'est OK.
SOIR
Le soir c'est là que le combat se passe.
Quand la soirée arrive, un monde aux connotations teintées d'angoisse s'agite dans mes tréfonds et de nombreuses forces contradictoires travaillent en moi et me réveillent des envies de manger, boire.
Tout celà se traduit par des pulsions plus ou moins importantes, des questionnements et je m'interroge sur le sens de tout celà : ces jours qui passent...
Mais plutôt que de sombrer dans la fascination stérile je préfère me poser de bonnes questions et explorer ma vie selon des axes d'expérimentation.
Ainsi ma meilleure réponse à un déséquilibre "existentiel" qui se traduit, par exemple, par un malaise lié au boire et au manger et à un corps plein d'embonpoint, limite obésité, je décide de me lancer :
un grand défi,
vivre une fabuleuse expérience,
mieux me connaître,
en m'écoutant et en travaillant sur mon rapport au boire et au manger avec le désir de trouver en moi plus d'harmonie.
Retour à la réalité :
J'ai eu envie à nouveau de tétiner de la bière, ainsi j'en ai acheté.
Cependant ce soir j'étais invité chez des amis et donc j'ai attendu la circonstance avant de faire quoique ce soit.
J'avoue que durant cette soirée et ce repas j'ai été très agréablement surpris de voir que progressivement dans la soirée je ne succombais pas à la tentation de me bâfrer, mais qu'au contraire j'avais comme un bon génie intérieur qui me surveillait et me protégeait avec bienveillance.
En effet, je n'ai pas bu mes bières, j'ai commencé l'apéro avec 2 verres de bon cidre (c'est un doux alcool pas agressif), puis lors du repas j'ai commencé à boire du vin, mais après le premier verre j'ai continué avec du cidre et du jus de fruit. Il y avait pourtant à table le choix de boire vin ou bière.
Idem pour la nourriture, au cours de l'apéro j'ai mangé 2 à 3 rondelles de saucisse sèche, puis j'ai arrêté.
Durant le repas je me suis refreiné sans grande souffrance.
IDEE :
L'eau pétillante,
l'eau pétillante agrémentée d'une demi orange pressée, sans sucre,
l'eau pétillante agrémentée de quelques gouttes de jus de citron,
en apéro : DU CIDRE et des tomates cerise, des carottes épluchées en petite barre, des radis rouge, des tranches de radis blanc !!! des moules apéritif !!!
CONCLUSION
Ce qui m'importe à travers ma réflexion et le travail quotidien que j'entreprends dans le but de perdre mon embonpoint est d'acquérir une force intérieure et une sagesse afin de ne plus me laisser pièger par l'oubli et la négligence et de pouvoir allier le plaisir de boire et manger avec une bonne hygiène de vie.
INDICE
« Il est vrai que tout a un prix, mais ce prix est relatif.
Quand nous suivons nos rêves, nous pouvons donner l’impression que nous sommes misérables et malheureux.
Mais ce que les autres pensent n’a aucune importance.
Ce qui compte, c’est la joie dans notre cœur. »
Extrait de Maktub de Paolo Coelho. Trouvé sur le BLOG de THANYS : Sur la Voie de la Simplicité
Bon courage à PetitPierre dans sa première phase de passer sous la barre FATIDIQUE...du quintal et bon courage à tous ceux qui font un travail sur eux-mêmes pour trouver une meilleure santé, une meilleure hygiène de vie et ainsi profiter plus de la vie sans être empoisonnés par des problèmes.