81,3

Ola,

et oui tu as tout à fait raison Maria, moi aussi dès que je me focalise sur "un chiffre" avec un objectif de performance à l' esprit, et bien il y a inévitablement un effet pervers qui se déclenche de concert.

Idem, en salle de sport, quand je fais, en cardio, du ski de fond (elliptique), et que j'essaye de me stabiliser sur une fréquence cardiaque, le rythme a tendance à augmenter, on dit bien que dans toute expérience scientifique, l'expérimentateur, rien que par sa présence, influe sur l'expérience elle-même...

Et oui, à mincir, on manipule du grand, du très grand : NOTRE VIE !!!
Et NOTRE VIE, c'est plus qu'un poids sur une balance...
NOTRE VIE mérite tellement,
AHHHH on devrait peut-être inventer une machine à peser notre capacité à générer du BONHEUR pour soi et pour les autres, et là, j'espère, que sur la blogosphère, on ferait un concours de celle ou celui qui prend le plus de kilos de capacité à créer du BONHEUR chaque jour !!!
J'espère que là aussi, de se focaliser sur cet objectif, amplifierait la hausse...

Bien à Toi,

Bobelix

Comments

[asivalavida]

Je crois que malheureusement (ou heureusment peut-être) nous sommes aussi doués pour fabriquer bonheur et malheur.
Je sais que l'un ne va pas sans l'autre et que pour apprécier le premier on a besoin du second, pour ne pas les confondre, pour les dissocier, pour mieux réclamer l'un quand c'est l'autre qui nous envahit.
Ce que je ne comprends pas très bien c'est notre capacité à plonger dans le n'importe quoi dès que nous touchons aux portes du paradis. Comme si la nature humaine n'était pas entièrement faite pour le Bonheur (avec un grand B)
Plaise à la Vie que je me trompe et que nous y accédions dès que possible, pas au Paradis, entendons-nous bien, mais au BONHEUR
MAria